Par Matière Première | 19 janvier 2023
Si la documentation d’entreprise a guidé son parcours de formation, Julie POURFILET s’est aussi intéressée de très près à l’impact d’actions marketing sur les ventes, le Retour Sur Investissement en somme. Dans l’entreprise Saverglass depuis 4 ans, elle recommande et met en oeuvre la digitalisation de la communication et du marketing.
Des études à Paris en Documentation d’entreprise puis Knowledge Management, un Erasmus à New Castle et une formation en marketing direct, commerce électronique à Skema Lille, Julie puise sa quête de sens dans l’apprentissage permanent. Ses multiples expériences professionnelles en témoignent tout autant : une alternance chez Air France, un VIE à Bruxelles toujours pour Air France, puis 10 années dans l’univers de la finance (Asset management du Crédit Agricole, de BNP Paribas) qu’elle souhaitera quitter pour un monde plus…tangible.
Elle rejoint Saverglass en 2018 par attrait pour le produit. La verrerie de luxe. Elle vient insuffler en courant digital sur le marketing et la communication de la très belle entreprise comptant aujourd’hui 3 700 collaborateurs.
Les axes majeurs de la transition vers l’industrie 4.0 porteront notamment sur l’optimisation des performances des lignes de production.
Ce qui plaît à Julie, c’est la magie de la matière première, la beauté des produits : comment la silice devient une bouteille à l’esthétisme remarquable ? Depuis son arrivée, elle s’est attachée à la refonte du site internet, aux campagnes emailing, à la stratégie de contenus sur les réseaux sociaux du groupe à travers le monde et à l’accompagnement des équipes pour leur utilisation.
Quand on interroge Julie sur l’ambition de Saverglass, elle évoque l’industrie 4.0, la poursuite des actions engagées dans le cadre de la RSE (voir le rapport en ligne sur le sujet), la création du second four au Mexique en 2023, confirmant ainsi l’implantation de Saverglass aux Etats-Unis pour conquérir le marché du Mezcal et de la Tequila.
Plus Concrètement, les axes majeurs de la transition vers l’industrie 4.0 porteront sur » l’optimisation des performances des lignes de production via l’analyse de la remontée des données et des informations, un suivi économe des consommations d’énergies et des matières premières et la mise en place de formations continues pour accompagner les opérateurs à l’évolution de production » précise Julie.
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